Le concert a commencé une bonne quinzaine de minutes en retard, pendant lesquelles on a pu goûter les différentes couleurs du brouhaha pleyelien. De 19h55 à 20h03, un joyeux brouhaha où on distingue dépliements de chaises, feuilletages de programmes et murmures divers. Vers 20h05, un quasi-silence se fait, teinté d’un brin d’inquiétude. Petit à petit, l’inquiétude fait place à l’agacement. Un unique spectateur se met à applaudir impérieusement, comme pour convoquer le pianiste et le chanteur. Or il a surestimé l’agacement des spectateurs, car personne ne se joint à lui. Problème de timing, car quelques minutes plus tard, son initiative …